Bondynoise depuis dix-huit ans, cette spécialiste des soins dermocosmétiques reprend du service ! Avec une solide expérience et une adaptabilité à toute épreuve, elle propose des séances personnalisées dans sa propre structure.
Un temps dans la restauration pour aider son mari, Souheila Hamida s’est aussi occupée de ses enfants. Elle n’a pourtant pas perdu le fil des soins esthétiques, en acceptant de suivre régulièrement des formations pour se perfectionner et rester à la pointe des progrès permanents dans ce domaine. Depuis peu, elle a décidé d’ouvrir son nouveau centre dans le quartier de la Mare à la Veuve où elle vit.
« J’ai travaillé dans différentes structures, avec la volonté de ne pas y rester pour me lancer dans une activité avec de la nouveauté, tient-elle à préciser. Quand vous reprenez dans le monde de l’esthétique, le mieux est d’intégrer des structures à fort potentiel. Après, j’ai repris mon envol. » Installée sur Bondy depuis 2005, la jeune femme possède un cursus riche. Après des débuts, une fois diplômée, à la clinique du Rond-Point des ChampsElysées à Paris, elle a été nommée responsable d’un centre rue de Rennes, avant d’ouvrir sa propre structure de soins dermocosmétiques en 2002. « J’avais 22 ans, mon papa m’a aidée pour les travaux et le financement, se souvient Souheila Hamida.
Je l’ai gérée pendant quatorze ans. Elle a beaucoup évolué au fil du temps, car les labos proposent régulièrement des produits novateurs sur le marché. »
Entre peeling et plasma pen
Sa première spécialité est le peeling. « Grâce à cette technique à base d’application d’un produit chimique, la peau s’épaissit, résume-t-elle. C’est une réelle stimulation au niveau de l’épiderme, avec un renouvellement cellulaire. Bref, c’est un anti-âge réputé. » Seconde méthode novatrice : le plasma pen (ou plasma lift). « Il permet d’agir de façon locale. Le principe est de diffuser un courant plasmatique. Dès lors, les cellules se regroupent, ce qui provoque une cohésion cellulaire.
La peau se resserre, le résultat est franchement spectaculaire au niveau des rides. » Avec ces deux méthodes de dermopigmentation réparatrice, Souleiha Hamida, reconnue par ses pairs, n’a rien d’une apprentie sorcière. Sa priorité est d’informer et de rassurer, avant tout acte, ses clientes. « Les choses sont claires : ce sont des techniques intrusives, avec des soins au départ où vous ne ressortez pas plus belles. Au contraire, il va falloir se cacher quelques jours, pour laisser à la peau le temps de se régénérer. » Pas question de mentir aux éventuelles patientes. Ou quand esthétique rime avec éthique.